Meeting aérien de la Ferté Alais 2018

Je remercie les grévistes de la SNCF de m’avoir contraint à rester sur Paris ce week end car cela m’a donné l’opportunité de me rendre au meeting aérien de la Ferté Alais 2018 organisé par l’amicale Jean Baptiste Salis. Cela faisait bien longtemps que je n’avais pas assisté à un tel show, d’autant que les conditions étaient idéales avec un ciel bleu immaculé. On a pu voir des choses fantastiques comme un Rafale voler avec un authentique Spad XIII de la 1er guerre mondiale, un siècle les sépare ! Ou bien un F/A 18 Hornet suisse avec un Morane Saulnier MS 406 tout aussi suisse (pour être tout à fait exact c’est une version sous licence EFW D-3801). Le MS406 étant la cheville ouvrière de l’armée de l’air à l’entrée en guerre de la France en 1939.

Le meeting a fait la part belle aux avions de 14-18, centenaire oblige, outre le Spad XIII déjà cité, on a pu admirer en vol pas moins de 4  Fokker DR.1 Triplan (des reproductions).

Le meeting de la Ferté Alais est surtout célèbre car il attire tous les warbirds que compte l’Europe comme le Curtiss H75 du collectionneur britannique Stephen Grey.

Ainsi que des appareils à moteur à piston post seconde guerre mondiale comme le Skyraider.

il y avait quand même quelques chalumeaux avec l’Aéronavale qui est venu en force avec ses Rafale Marine pour ne pas laisser seul  le Rafale solo display faire le show.

hormis les appareils de guerre les appareils de servitude et civils étaient de la partie comme ce Beech 18 bien rutilant et chromé lors d’un passage bas.

ou ce superbe morane saulnier MS760 Paris.

Il y avait également quelques passages à sensation comme Danielle Del Buono qui fait du wing walking sur un Boeing PT-13D Kaydet.

Le reste des photos est par , pour avoir les photos en haute définition il suffit de cliquer dessus puis avec le menu contextuel (clic droit sur la souris) puis Afficher l’image.

Les photos sont prises avec un Nikon D5300 et un objectif Sigma 70-200mm F2,8 achetés récemment. J’ai franchi un step, que dis-je, un ravin en passant du bridge au reflex, c’est le jour et la nuit pour la qualité des photos et surtout la vitesse de prise de vue qui me permet de faire des photos dans l’action parfaitement claires. Il me reste néanmoins encore à travailler les prises de vue dans la faible luminosité car pour l’instant c’est pas vraiment cela.



 

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